Hario Clear Coffee Grinder

Visiblement construit sur la mécanique du Skerton, le nouveau moulin Hario Clear Coffee Grinder est équipé d’un ingénieux système de ventouse afin de gagner en stabilité durant le broyage.

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28ème Rencontre Nationale de la Torréfaction Française

Demain, dimanche 29 septembre, durant la 28ème rencontre Nationale de la Torréfaction Française, aura lieu le Concours du Meilleur Torréfacteur de France.

L’événement organisé par le Comité Français du Café, se déroule à Colmar, du 29 au 30 septembre. Des animations sont prévues en marge de la compétition, comme le Salon des Fournisseurs, ainsi que des conférences. Tous les détails sont disponibles ici.

S’Y RENDRE

Parc des Expositions de Colmar, Hall 2
Avenue de la Foire aux Vins
68000 Colmar
 


Agrandir le plan

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Présentation de la Rocket R58 @maxicoffee

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Comparatif : Filtres Hario V60 Blanchis vs Non Blanchis

Hario commercialise deux sortes de filtres pour son Dripper V60 : les blanchis et les non blanchis. Ce type de filtre est arrivé aux USA au début des années 90. L’intérêt étant la non utilisation de chlore (santé, environnement). La contrepartie est un goût de papier bien plus présent que sur les blanchis.

J’ai voulu tester, dans la vraie vie, la différence entre les deux filtres sur les Dripper 01.

Protocole

Tout d’abord, j’ai souhaité connaître la quantité d’eau chaude nécessaire à l’élimination des arômes parasites. Pour ce faire, j’ai rincé chaque filtre avec 240 ml d’eau chaude (Volvic > 95°C), par pas de 30 ml (1 oz). Il ne restait plus qu’à déguster les échantillons, dans les deux sens (du moins au plus rincé, et inversement), en prenant soin d’avoir un verre témoin de Volvic chaude. La dégustation s’est faite à chaud et à froid.

Résultats

Filtres blanchis : Les deux premiers verres sont contaminés par un goût de papier assez fort. Au troisième verre, ce goût devient quasi indétectable. Plus rien au quatrième. Il suffit donc de 90 ml d’eau chaude minimum pour rincer un filtre blanchi.

Filtres non blanchis : Le goût de papier est beaucoup plus puissant. Il décroit au fur et à mesure, jusqu’à devenir difficilement décelable au quatrième verre. Ce filtre demande donc quant à lui au moins 120 ml de rinçage. Et pourtant, même si l’eau de filtration devient exempte de goût parasite, le filtre lui, contrairement au blanchi, continue de dégager des arômes de papier jusqu’à 240 ml de rinçage. J’ai voulu vérifier si la mouture du café en contact ne risquait pas d’absorber ces arômes.

Comparatif

Afin de vérifier la parfaite transparence des filtres, j’ai extrait deux cafés en parallèle, en l’occurrence, un Kenya Gitchathaini AA de Caffè Cataldi.

Il m’a été totalement impossible de discerner le moindre arôme parasite, ni de distinguer la moindre différence entre les deux cafés.

Conclusion

Bien rincé, on peut utiliser le filtre que l’on souhaite, sans arrière-pensée. Néanmoins, le fait que le filtre non blanchi émette des arômes de papier, même après rinçage, n’est pas rassurant. Je vais continuer à effectuer des comparatifs avec différents cafés, afin de vérifier si cette transparence est immuable.

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Dégustation Blend Has Bean Jailbreak Mk5 2013

Composition

Le Jailbreak est un mélange de trois origines d’Amérique centrale :

Cette version est la cinquième mouture (je n’ai pas résisté) du Jailbreak. La composition évolue au fil des récoltes, mais l’esprit reste le même, à savoir, un mélange équilibré et corpulent.

Les grains n’ont pas de défauts et la torréfaction (homogène) est juste parfaite pour l’espresso

Paramètres

Les meilleurs résultats ont été obtenus avec les paramètres suivants :

Grammage : 18 à 19g

Température : 92,6 à 93°C

Temps d’extraction : 25 à 30 sec

Masse breuvage : 24 à 28g

Dégustation

Le nez offre des arômes de fruits à coques. En bouche, le café est clean et a du corps. Les arômes sont simples mais nets. Ici, ce n’est pas la complexité aromatique qui a été recherchée. Sa plus grande qualité se situe ailleurs : c’est un modèle d’équilibre. Pas d’acidité violente ou d’amertume désagréable en fin de bouche. Un espresso consensuel, qui plaira au plus grand nombre. De plus, c’est un blend très facile à travailler, au cadrage assez large. Attention cependant à ne pas sous-extraire le Jailbreak : si les arômes de fruits à coques restent présents en attaque, ils laissent place à des notes de feuilles de tabac et de cuir en finale, ce qui, à mon sens, est bien moins intéressant et agréable.

Le Jailbreak se marie bien avec le lait

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